Maya
Illustration : Renhour48
C’est ici que volent les esprits libres !
Nous dansons, nous pleurons, nous rêvons… 3 petits tours et puis s’en vont.
Comme un aigle cramponné au trépas qu’un rayon éphémère aveugle, nous gisons.
C’est la lune qui ensorcelle nos ébats amoureux et qui d’un divin renoncement, extrait le firmament !
Nous avons donc joué, puisque ce jeu était le nôtre, mais nous voilà de nouveau, le nez face au néant…
Et nos mains baladeuses continuent de glisser sur l’âpre surface de la réalité pour tenter d’y trouver quelques merveilles oniriques !
Fermons les yeux et rêvons !
Texte suivant : Paroxysme